La Grande-Bretagne pourrait rester dans le marché énergétique de l’UE

Le gouvernement britannique souhaite obtenir le meilleur accord possible dans toutes les régions des négociations de Brexit avec l’UE en matière d’énergie, comme l’a déclaré Clark au comité Stratégie industrielle, Energie et Business.
La Grande-Bretagne a importé 6% de son électricité grâce à des liaisons électriques avec la France, les Pays-Bas et l’Irlande en 2016, mais cherche des options pour augmenter ses sources d’énergie afin d’aider à remplacer les anciennes centrales nucléaires susceptibles de fermer dans les années 2020.
Clark a accentué que les discussions avec l’UE étaient sur le point de commencer mais il espère que les plans d’interconnexion avec d’autres pays de l’UE et non-UE continueront et seront étendus.
Certains nouveaux liens électriques avec les pays européens sont en cours. Si construits, ceux-ci pourraient atteindre environ 20 pour cent de la demande maximale d’électricité de la Grande-Bretagne au début des années 2020.

Plus de nouvelles

Charbon russe : un embargo européen en réponse aux crimes de guerre

La Commission européenne propose un embargo total sur le charbon russe ainsi que d’autres mesures restrictives en réponse aux preuves...

Exportations de gaz : l’Europe refuse de payer en roubles

La Russie, dans une manœuvre pour contrer les sanctions de l’Europe, exige que ses exportations de gaz soient désormais payées...

Ralentissement nucléaire : les conséquences sur le gaz russe

Depuis le début de l’année, la France connait un ralentissement nucléaire important causé par l’arrêt de plusieurs centrales majeures dans...