CEZ attend le meilleur prix dans la vente des actifs bulgares
Les noms des soumissionnaires n’ont pas été divulgués, mais les entreprises ont eu une expérience dans les Balkans, tel qu’annoncé par Tomas Pleskac.
Il a rajouté que CEZ pourrait éventuellement vendre tous les actifs séparément ou en paquet, y compris une centrale à charbon, des installations d’énergie renouvelable et un distributeur d’électricité. En outre, il a déclaré que 3 soumissionnaires voulaient tous les actifs de la société, un soumissionnaire envisageait la centrale à charbon Varna de 1.265 MW, tandis qu’un autre désirait tous les actifs, sauf la centrale Varna qui est hors ligne, qui nécessite des améliorations pour respecter les réglementations de l’Union européenne.
Après des conflits de longue date avec les autorités bulgares en termes de prix, CEZ a lancé en 2016 un arbitrage contre le gouvernement, cherchant de centaines de millions d’euros pour l’incapacité d’abriter ses investissements.
Par conséquent, CEZ a décidé de quitter la Bulgarie, se concentrant sur les marchés de l’Europe centrale et de la République tchèque, en essayant de s’approfondir en énergies renouvelables, particulièrement en France et en Allemagne, où existent davantage d’opportunités.
Les médias ont rapporté que CEZ n’était pas satisfaite des offres pour ses actifs bulgares et le groupe énergétique tchèque Energo-Pro a décidé de faire une offre plus avantageuse de 300 millions d’euros (353 millions de dollars). Pourtant, les discussions concernant les prix et les conditions se poursuivront.
Pleskas a déclaré qu’après les ventes de Bulgarie, CEZ n’avait aucune intention de vendre des biens roumains ou turcs, attendant néanmoins de bonnes offres.